• 1. Le modèle de gravité

    On peut considérer Ravenstein comme le fondateur de son modèle avec son ouvrage: "Laws of migration" 1885. Il met l'accent sur 2 critères: la distance et la dimension.

    - D'une part, tout territoire exerce une force d'attraction migratoire en fonction de l'importance de son peuplement. A titre d'illustration, on pourrait dire que la capacité d'attirance internationale de l'agglomération partisienne est incontestablement plus intense que celle des autres agglomérations puisque 40% des immigrés en France métropolitaine résident en Ile-de-France.

    - D'autre part, l'attraction d'un territoire est proportionnelle à la disantce le séparant des autres territoires : le nombre de migratns est d'autant plus important que la distance est faible.

    Il faut bien noter que le modèle de gravité se réfère aux migrations en général, donc aussi aux migrations internationales. Il aide à constater l'intensité de certaines migrations puisqu'il montre que les individus se déplacent comme s'ils étaient attirés ailleurs par une force qui décroît avec la distance.

     

    2. Le modèle d'opportunité et le modèle d'attirance-répulsion

     

    3. Le modèle coûts-avantages

     

    4. Le modèle de contrainte et de connaissance

     

    Conclusion: les modèles de migrations peinent à intégrer la diversité de la géographie migratoire.


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  • La notion de circulation migratoire

    Cette notion est introduite dans les années 1990 et marque une prise de distance progressie vis à vis des problématiques développées dans les années 1970. Elle a été forgée pour décrire la complexité croissance des phénomènes de mobilité internationale. Elle fait suite à celle de noria, de champ et d'espces migratoires, travaillées par des chercheurs en majorité issus de la gréographie dont l'objectif était de dépasser la dualité des approches qui portaient soit sur les sociétés d'installation, organisées autours des problématiques de l'intégration, soit les sur les pays d'origine centrées sur celles du développement.

    La notion de circulation migratoire correspond à une démarche qui tente de tenir compte à la fois des espaces concernés par les migrations, des déplacements accrus des personnes entre différents lieux et des flux matériels (biens, services, remises) et idéels (normes, valeurs, représentations) induits par les migrations.

      


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